Pour répondre au programme légitime et pratique du manque de place dans la boutique sans investir des espaces du fournil, une extension s’impose à l’Est.
Ainsi il sera possible d’augmenter la séquence sur rue, d’agrandir la surface d’offre exposé, de restituer de la surface tant au public qu’au service, de créer une étale proportionnée de libre-service, de poser le filtre et le distance nécessaire à la cohabitation avec le four, de sacraliser le fournil et d’implanter une proposition typologiquement exhaustive des exposition : Adossée pour la pâtisserie, traditionnelle opposée pour le chocolat et la viennoiserie, mural pour le libre-service et classiquement en fond pour le pain en panetières.
Le corps de bâtiment se contente d’une extension en toiture terrasse afin de se désolidariser de sa toiture et gagner en légèreté.
La fermeture de nuit s’opère par la translation rectiligne d’un portail de bois lourdement structuré suspendu. L’enseigne unique de la boulangerie prend place sur le dispositif qui la déplace suivant ses deux différentes positions.
L’espace de stationnement est organisé en arrêt minute d’une capacité de rotation de cinq places.
Le calepinage de sol extérieur se tisse avec celui de l’extérieur.
Sans différentiation de traitement, les espaces piétons à l’approche de la boulangerie sont préservés de la circulation automobile par des quilles de métal oxydé.
Eclairé scéniquement l’espace de paysage signe et optimise la présence de l’activité avec conviction et assurance sans équivoque possible de sens…